Kosovo : l’impossible deuil des familles de « disparus »

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Ils étaient albanais, serbes ou roms et ont « disparu » pendant ou après la guerre. Pour les familles des 6057 disparus officiellement recensés, le travail de deuil est souvent impossible tant que les corps de leurs proches n’ont pas été retrouvés. En 2018, 1650 personnes manquaient toujours à l’appel. Le témoignage du député Driton Çaushi.

Propos recueillis par Jean-Arnault Dérens et Laurent Geslin | Photos : Rafael Yaghobzadeh

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