Grèce : l’élection du président fait grincer des dents

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Il est d’usage en Grèce que la majorité choisisse un chef d’État non-partisan, qui fasse consensus avec l’opposition. Mais le Premier ministre conservateur a rompu avec cette tradition en désignant Konstantínos « Kóstas » Tasoúlas, l’un des barons de son parti. Un choix qui suscite la polémique.

Par Marina Rafenberg

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