Roumanie : après la révolte, le temps de la « nouvelle opposition »

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Plus de trois mois ont passé depuis les grandes manifestations de l’hiver. Face à un système politique usé par la corruption, de nouveaux partis issus de la société civile tentent de proposer une offre alternative. L’Union Sauver la Roumanie, fondée par Nicușor Dan, fait figure de précurseur. Le Courrier des Balkans a rencontré l’un de ses cadres, Șerban Marinescu, qui veut « redonner voix à la rue ». Interview.

Propos recueillis par Laura-Maria Ilie

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