Albanie : impasse politique et « capture de l’État »

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Cinq jours après les élections municipales du 30 juin boycottées par l’opposition, chaque parti reste campé sur ses positions : les socialistes du Premier ministre Edi Rama estiment que les élections étaient légitimes, l’opposition refuse de reconnaître les résultats, les observateurs internationaux soulignant le manque de pluralité. Pendant ce temps-là, le Président Ilir Meta accuse Soros de complot et veut de nouvelles élections à l’automne.

Par Katerina Sula

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