Croatie, Serbie : comment les criminels de guerre deviennent des héros
À Belgrade comme à Zagreb, les criminels de guerre, « blanchis » ou condamnés par le TPIY, sont tous accueillis comme des héros. Le nationalisme des années 1990 fait son grand retour, tandis que l’Occident se désintéresse de la question au nom de la supposée « stabilité régionale ». L’analyse de deux historiens.
Traduit par Claire Vallet
Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !