Bosnie-Herzégovine : à Mostar, « on ne veut plus être otages du passé »

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Après le suicide en direct de Slobodan Praljak au TPIY et les lourdes condamnations confirmées en appel contre les dirigeants croates d’Herzégovine, les tensions communautaires semblaient de nouveau au plus haut à Mostar. Mais dans la ville symbole des divisions en Bosnie, on veut surtout se tourner vers l’avenir. Et refermer, enfin, les plaies de la guerre.

Par Jelena Prtorić

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