Bosnie-Herzégovine : Slobodan Praljak ou le massacre de la culture
Le 29 novembre, Slobodan Praljak se suicidait en avalant un capsule de cyanure juste après la lecture du verdict du Tribunal pénal pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) à La Haye. L’homme, ancien écrivain, cinéaste et directeur de théâtre, était accusé, entre autres, d’avoir ordonné la destruction du vieux pont ottoman de Mostar, symbole culturel de cette ville multi-ethnique, en novembre 1993.
Par Gordana Knezevic
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