Corruption en Serbie : le mauvais exemple des privatisations frauduleuses
En 2011, l’Union européenne avait demandé la révision de 24 dossiers de privatisations, considérés comme illicites. Sept ans plus tard, la justice serbe a prononcé dix non-lieux et à peine deux condamnations.
Par Nikola Radić
Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !