Koha Jone
Albanie, carrefour des trafics et de la prostitution
Des milliers de femmes albanaises racolent sur les trottoirs d’Europe de l’Ouest. Elles sont tenues d’une main de fer par des proxénètes. La prostitution et la conduite des hauts fonctionnaires locaux, à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, donnent une image désastreuse de l’Albanie.
Par Kreshnik Spahiu
L’Albanie vient de recevoir encore une fois le sermon d’usage où on lui a reproché d’exporter sa criminalité. Les Albanais jouissent d’une piètre réputation. Ils sont regardés comme des proxénètes, des trafiquants d’armes, de drogue, et de voitures volées. L’envie d’échapper à la pauvreté, curieusement, ne les a pas incités à travailler, à étudier, et à s’intégrer. Nombreux sont ceux qui ont choisi les chemins de l’illégalité. Il y a quelque temps, l’Albanie avait été félicitée pour avoir sensiblement réduit ses trafics illégaux. Elle était passée du niveau trois au niveau deux, et s’ouvraient ainsi la voie de (…)
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