Cinéma slovène : « les actions se muent en paroles et les paroles en histoires »

| |

À 39 ans, avec cinq documentaires et deux fictions à son actif, Matjaž Ivanišin est l’un des nouveaux visages du cinéma slovène. Après le très intéressant Playing Men en 2017, il revient avec un nouveau long-métrage plus expérimental, Oroslan. Le Courrier des Balkans a rencontré le cinéaste en marge du Festival du film de Trieste.

Par Nikola Radić

Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !

S'abonner      Identifiez-vous