Le Courrier des Balkans
Cent ans de l’Albanie : Sali Berisha s’attire les foudres de la Grèce
Les derniers mots du discours du Premier ministre albanais pour le centenaire de l’indépendance de l’Albanie n’ont pas plu, mais alors pas du tout, à Athènes. Le ministre grec des Affaires étrangères a immédiatement annulé sa venue aux festivités à Tirana et toute la classe politique s’est indignée, de l’extrême droite à l’extrême gauche. Mais pourquoi ?
Par Ermal Bubullima
« Comme le dit un dicton français : les amis brillent par leur absence. » Voilà comment le Premier ministre albanais a répondu à la question d’un journaliste à propos de la mini crise diplomatique qui divise Athènes et Tirana.
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28 novembre 1912 : il y a cent ans, naissait l’État d’Albanie
Tout a commencé par les derniers mots de Sali Berisha lors de son allocutions pour le centenaire de l’indépendance de l’Albanie : « À Vlora et à ses citoyens, à Ismail Qemal Vlora et à tous les pères de la nation, lesquels ont déclaré dans cette ville éternelle, le 28 novembre 1912, (…)
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