AIM
Grèce : Pangalos, le porte-flambeau du consensus contre les minorités nationales
"Il y a des personnes qui ont certaines sensibilités, et elles devraient
avoir
le droit d’être libres, d’avoir leurs propres bureaux, leurs journaux, de
voir
leur langue enseignée, de pouvoir célébrer leurs fêtes à leur
manière, et de se
présenter à des élections.
Par Panayote Elias DIMITRAS
Lorsqu’elles estiment qu’elles ne sont pas
reconnues
ou que leurs droits ont été violés, elles pourraient faire appel aux
organisations internationales qui possèdent des mécanismes coercitifs et
des
procédures obligatoires pour chacun d’entre nous. Quelle meilleure
définition de
l’existence d’une minorité, de la nécessité de
respecter ses droits fondamentaux et de la façon de la défendre,
n’est-ce pas ?
Vrai ? Faux ! Lorsque le Ministre des Affaires Etrangères grec, Théodore
Pangalos, a fait cette déclaration le 22 Décembre 1998, pendant une
visite
officielle à Skopje, en réponse à une (…)
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