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Trafic d’organes au Kosovo : pas d’accord à l’Onu pour une enquête indépendante
Alors que la mission européenne Eulex a commencé à enquêter sur le présumé trafic d’organes de l’UÇK, la Serbie ne renonce pas à l’ouverture d’une « enquête indépendante », placée sous mandat de l’Onu. Pour le moment, impossible d’obtenir un accord sur la question au Conseil de sécurité, trois membres permanents « bien connus » s’y opposent fermement.
New York - La Serbie va continuer ses efforts auprès du Conseil de sécurité des Nations unies pour que soit acceptée sa proposition de diligenter une enquête indépendante sur le trafic présumé d’organes au Kosovo. Pour l’instant, il n’y a pas d’accord au sein du conseil sur cette question.
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Trafic d’organes de l’UCK : « Au Kosovo, tout le monde est au courant »
« La délégation serbe va poursuivre ses efforts pour que le Conseil de sécurité des Nations unies prenne la décision qui permettrait l’organisation d’une commission d’enquête indépendante, avec l’accord de la mission Eulex, mais sous la supervision (…)
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