Île-Saint-Denis (93)

Evénement culturel kosovar

| Du au

Informations
La compagnie Libre d’Esprit
10 rue de l’ingénieur Keller
75015 Paris

01.45.79.63.47
06.63.94.93.65
libre-esprit@tele2.fr

E v é n e m e n t C u l t u r e l K o s o v a r

T h é â t r e
La Leçon / Mësimi
IONESCO
Bekim Lumi - Théâtre Dodona - Prishtinë, Kosovë

Le journal d’un fou/Ditari një të çmënduri
GOGOL
La troupe Bajrush Mjaku - Skopje, Macédoine
Mise en scène Ivan Popovski
et
Le Père / Babai
STRINDBERG
Mise en scène Slobodan Unkovski

Mon Village sait boire le raki
MITRUSH KUTELI - ROMANCIER ALBANAIS
Larbi Belkacem - Caen

Mon Ami Paranoïaque
NIKSON PITAQAJ - AUTEUR KOSOVAR
Compagnie Libre d’esprit - Paris

L e c t u r e
Au seuil de la désolation / Bregu i pikellimit
TEKI DERVESHI - AUTEUR KOSOVAR
Arben Bajraktaraj

Poésie Albanaise et autres...
Nathalie Bernard

M u s i q u e
Piano / Violon / Soprano
Miranda Deliallisi / Lekë Salihu / Gloria Gashi / Erjona Paruca
Musique Traditionnelle
Xhavit Arifi et son groupe

C i n é m a
Court-Métrage Kosovar : Exit
Blerta et Lendita Zeqiraj

E x p o s i t i o n s
Peinture / Ismail Bozhlani
Photographie / Marie Ponchelet

...Parlons de l’avenir, parlons de la vie...

Ce premier événement sur la culture albanaise s’organise en Ile de France, et c’est la ville de l’ Île -Saint-Denis qui nous donne cette chance. Pendant ces jours précieux, vous aurez l’occasion de voyager à travers différentes œuvres vers des horizons, une culture, une langue qui vous est proche et lointaine en même temps. C’est l’occasion de se réunir, de se découvrir et de partager un moment autour d’un verre de Raki, ou d’un café accompagné de Baklava. Artistes kosovar, macédoniens et français ayant travaillé sur des œuvres albanaises, nous montrent un autre point de vue sur ces régions. Un regard digne sur notre culture, nos traditions et un échange culturel entre nos deux pays. Pour les amoureux de ces pays, cet événement sera un délice pour s’évader à trois pas de chez eux. On souhaite à ceux qui ne les connaissent pas encore, de les découvrir. . .

Théâtre
N o u v e l l e C r é a t i o n
Mardi 30 mars à 20h45
Samedi 03 avril à 20h45
Dimanche 04 avril à 17h30
Centre Culturel Jean Vilar

Mon Ami Paranoïaque
NIKSON PITAQAJ - AUTEUR KOSOVAR
Compagnie Libre d’esprit - Paris
Écrite et mise en scène de Nikson Pitaqaj
Assistante Mireille Jomard
Décor Malika Chauveau
Avec : Henri Vatin, Simon Pitaqaj et Leslie Salomon

C’est par un matin ensoleillé, au beau milieu d’une belle
histoire, que mon ami commence à devenir parano.
Unejolie fille de l’autre coté du miroir vient à son aide.

Aujourd’hui, il n’y a pas un pays dans le monde qui n’a pas
une armée pour se défendre et depuis dix ans, pratiquement
tous les états ont augmenté leurs budgets. Les usines tournent
à plein régime, du coup la population trouve normal d’avoir
des armes pour se défendre.

Pendant ce temps, la femme avec ses cris d’impuissance
finit par être gênante et on la cache dans une maison,
prison ou tout simplement par un voile.
Moi, c’est à douze ans que j’ai eu une arme à feu à la
main.

Nikson Pitaqaj

Mercredi 31 mars à 20h45
Centre Culturel Jean Vilar
« Le journal d’un fou » de N.Gogol
Mise en scène de Ivan Popovski
Avec : Bajrush Mjaku
Pièce en langue albanaise (sous-titrée)
Un drame entre l’individu et la société, un drame entre la « poésie » d’un fou et « la prose » des gens normaux : un drame qui parle « d’amour et de folie » ou de « l’amour fou »

Qu’est ce qui m’a poussé à faire
« Le Journal d’un Fou ? »
Je voulais interpréter un personnage qui pourrait refléter ma relation en tant qu’artiste avec
la société dans laquelle je vis. J’ai toujours admiré Risto Shishkov, un des plus grands acteurs
macédonien, ainsi que Kujtim Spanhivogli, le seul et unique metteur en scène avant-gardiste en
Albanie. Tous les deux ont eu le courage de se prononcer contre le régime socialiste, sous lequel
ils ont souffert. Pour faire cette pièce, j’ai été influencé par ces deux personnalités.
Le journal d’un fou, se déroule à une époque où la police et les forces militaires de Macédoine
combattaient les rebelles albanais. Dans cette ambiance tendue, polarisée par le conflit ethnique,
Le Journal d’un Fou est produit par un acteur albanais et un metteur en scène macédonien. Ce fut
une collaboration inattendue et surprenante ; par conséquent Ivan Popovski et moi étions harcelés,
en même temps par les albanais et les macédoniens.
Aujourd’hui, je leur demande à tous : auriez-vous préféré que Ivan et moi, nous nous crevions les
yeux au lieu de réaliser ce projet ?
Mon héros vit dans une toute petite piéce. On l’observe. Il n’arrive pas à sortir du cercle. Il se
bat contre l’invisible... Il est fou de rage. On l’attache... Il y a des miroirs... plein de miroirs.
Il ne se sent pas bien, pas bien de tout. Il pleure. La pluie. Il est mouillé... Il est heureux...
Les larmes... les gouttes. Triste, sentimental... Le soulagement. Il flotte...Bajrush ? Est-ce que
quelqu’un sait où se trouve Bajrush ?

Jeudi 01 avril à 20h45
Samedi 03 avril à 15h30 Centre Culturel Jean Vilar
« La Leçon » de E. Ionesco
Mise en scène de Bekim Lumi
Avec Astrit Kabashi et Adriana Matoshi.
Création de lumière et musique Skender Latifi

Nous avons l’honneur d’accueillir le théatre « Dodona » qui vient directement
du Kosovo en présence de leur directeur Faruk Begolli. Il nous présentera la
pièce de E.Ionesco, « la leçon », en langue albanaise.
Aujourd’hui, Ionesco connaît un succès mondial et son oeuvre est traduite
et jouée dans plus de 29 langues. L’absurde et le comique jouent un rôle
considérable, le langage devient l’instrument d’un pouvoir abusif. Désemparé,
niant son acte avec une parfaite mauvaise foi, le professeur se fait rappeler à
l’ordre : « c’est la quarantième fois aujourd’hui, et tous les jours c’est la même
chose ». Quoi qu’il en soit, ce cours particulier devient tout à fait insolite. Tel un
duo musical, le dialogue se déroule simultanément dans un double registre.
Sur ce, une nouvelle élève, nouvelle victime, sonne à la porte, continuant ainsi
un cycle sans fin... dans l’humour noir. La leçon s’achève par un assassinat.
L’avillissement comique du langage s’allie à ce que la psychanalyse nomme
« le fantasme de destruction ».

Samedi 03 avril à 18h00
Dimanche 04 avril à 15h00 Théâtre Jean Vilar
Mon village sait boire le raki
Nouvelle de Mitrush Kuteli
Adaptation au théâtre et mise en scène de Larbi ben Belkacem
Traduction de Klara Buda
Avec Sophie Quénon, Vincent Munch et Larbi Ben Belkacem
Ce récit est un monologue sur le mode de vie, de
comportement, de penser, induits par le désir de sortir de
sa vie dans l’échappatoire de l’alcool, et apparaît comme une
scène familiale et sociale où tout est mis en œuvre pour ennoblir
et justifier la consommation d’alcool. Dans une région comme
la Normandie, où l’alcool fort (le calvados) a longtemps été
surnommé « le lait qui fait les mâles », ce texte prend une résonance
particulière : « D’autres, ailleurs, se comportent comme nous. Ontils
(et avons nous) raison de penser ainsi ? »
C’est l’une des grandes questions auxquelles les gens du spectacle
vivant tentent de répondre, même à l’ocasion de spectacles sans
prétention.
Ma participation à la rencontre autour de la culture de l’Albanie,
a été organisée par Balkan Transit 2002 dans différentes villes de
basse-Normandie. A l’origine de ce projet, plusieurs textes de
théâtre ou de littérature m’avaient été proposés par Laurent Porée,
l’organisateur de cet évènement. Le cours récit de Kuteli, traduit
par Klara Buda, m’a semblé le plus adapté pour cette occasion.
Quoi de plus universel que la tentation des paradis artificiels ?
Larbi ben Belkacem.

MCJ
Théâtre
« Le Père » (Babai) de Strindberg
Mise en scène de Slobodan Unkovski
Avec Bajrush Mjaku, Arta Mucaj...
Pièce en langue albanaise (sous-titrée)

Avec la troupe de Bajrush Mjaku et une quinzaine de comédiens
qui nous présenteront leurs créations. Juste après leur tournée à
Moscou au théâtre de la Gittis où ils étaient invités par P. Fomenko,
ils continuent leur aventure jusqu’à Paris pour partager un point de
vue sur les grandes œuvres classiques en langue albanaise.
une pièce qui explore partager un repas
la puissance du pouvoir...
Le public est invité à partager un repas de
famille sur scène. Pendant plus d’une heure
sur la même table d’amitié, on mangera, on
boira et tout naturellement on discutera des
choses de la vie.
Le père est une pièce qui explore de façon subtile et
psychologique les relations complexes au sein de la famille.
Une ombre de suspicion est jetée sur la paternité du capitaine.
Sa femme en et la cause, car elle veut prendre le contrôle
de la famille et de son mari. Ceci nous mène à une guerre
psychologique, terrifiante entre les personnages de cette pièce.
La foi, le pouvoir, la manipulation et la torture psychologique sonr
les forces majeures de ce drame qui tourne autour d’un seul
objectif : La puissance du pouvoir. Même si ce drame familial
a pour théâtre le planches d’une scène, elle est d’autant plus
réelle qu’elle reflète les scènes de notre quotidien avec parfois
des conséquences plsu tragiques.
LA pièce se joue en lngue albanaise, une façon symbolique
de célébrer les trente années de carrière de Bajrush Majku.

18 novembre 2000 Les premiers flacons de neige tombent. Il fait froid. J’essaye de me concentrer et d’écrire une lettre au ministre de la culture. Je n’y arrive pas. Ils me l’empêchent. Ils ne me laissent pas tranquille. Le téléphone sonne constamment. La folie.
22 novembre 2000 En ce moment de folie générale dans cette partie du monde, il me semble que seulement un fou peut survivre. Malheureusement, d’un côté, mon héros n’est pas
assez fou pour faire face au chaos qui l’entoure et résister à la folie, mais de l’autre, il
est trop sensible, trop naïf, trop honnête et trop amoureux pour être normal.
11décembre Mon héros est un poète, il est fou, tous les artistes sont fous, l’art ne peut pas suivre les conventions. Quelqu’un de complètement normal ne pourrait pas être artiste, l’art des gens normaux est ennuyeux et banal, il reste plat... Les gens normaux ne peuvent pas voler.
6 janvier
C’est Noël. J’aimerais être chez moi. Ça fait longtemps que je n’ai pas été chez moi, chez ma famille pour fêter Noël. Pendant toute la journée d’hier, mon héros a marché à quatre pattes, comme un chien, il aboyait et levait la patte droite. C’est un jour férié aujourd’hui mais il dort toute la journée. Il est complètement fou.
Ivan Popovski
6 novembre

MJC
Mercredi 31 mars à 19h00
Jeudi 01 avril à 19h00

la légende de Constantin et Doruntine

Au seuil de la désolation écrite par Teki Dervishi
Traduction par Anne-Marie Autissier et Arben Bajraktaraj
Mise en espace d’Arben Bajraktaraj
En 2 parties
L i b r e c o m m e l a m o r t

Bregu i pikëllimit (Au seuil de la désolation) est une œuvre panoramique
embrassant neuf cents ans d’histoire à travers le parcours d’un
personnage, le Joueur, errant parmi les morts comme parmi les vivants.
Revisitant la légende de Constantin et Doruntine, Teki Dervishi fait du
Joueur un envoyé du royaume des morts chargé de ramener - comme
dans la légende - sa sœur Doruntine à sa mère. Or rien ne se passe
comme prévu. Si le texte prend appui sur la tradition de la parole donnée
 la Besa -, c’est pour en montrer l’impossibilité. Le Joueur ne peut tenir sa
promesse. Pire encore, plusieurs fois sur son chemin, il croise différentes
incarnations de Doruntine sans véritablement l’atteindre. Doué au moins
d’ubiquité, le Joueur traverse le monde et ses événements sans jamais
y participer. « Libre comme la mort », il cherche un endroit où son travail
serait utile, mais jamais il n’y parviendra.
Condamné à une éternelle errance, le Joueur - ainsi que ses divers
avatars - se dit « fatigué de répéter sa vie ».
Imprégné de mysticisme et de la symbolique des nombres, Bregu i
pikëllimit se déroule en permanence sur un double plan : celui des
monologues et méditations poétiques du Joueur et celui des dialogues
entre les figures humaines souvent réduites à leur plus simple expression,
doublée d’animalité : « Sœur Yeux Bleus, Statut Silex, Élégante Cobra,
Moine Païen ».
Teki Dervishi a mis dix ans à achever son œuvre. Il l’a écrite entre 1975
et 1985, dans une période de tourmente, annonçant le désastre à venir.
Bregu i pikëllimit a été montée pour la première fois en 1986 et a marqué
les esprits par son originalité et son étrangeté. Sa renommée l’a ainsi
faite entrer dans le répertoire classique.
Anne-Marie Autissier et Arben Baraktaraj

Musique classique
Vendredi 02 avril à 19h00 Centre Culturel Jean Vilar

La soprano Erjana Paruca, violoniste Gloria Gashi, les pianistes Miranda Deliallisi et Lekë Salihu

Samedi 03 avril à 19h00
Dimanche 04 avril à 16h00

Gloria Gashi est née à Tirana en Albanie, elle commence le violon dès
l’âge de six ans. Elle devient à vingt ans, titulaire à plein temps de
l’Opéra National de Tirana. Elle se perfectionne au Conservatoire National
de Musique Egar VARESE avec le professeur Ami Flamer. Ainsi elle reçoit le
premier prix à l’unanimité et les félicitations du jury. Elle participe à tous les
concours des jeunes talents d’Albanie avec une réussite à de nombreux
premier prix, et se lance dans sa carrière professionnelle sur la scène
nationale et internationale.
• Premier Violon de l’Opéra National d’Albanie.
• Violon Solo de La Radio National d’Albanie.
• Soliste accompagnée par l’orchestre du Conservatoire Edgar Varese,
avec l’enregistrement de la Symphonie Concertante de Mozart.
• Tourné à Lisbonne de l’Opéra Carmen avec « Opéra Hall of
Belgium »
• Soliste accompagnée par l’Orchestre des Jeunes de la Méditerranée,
concert en Turquie, Maroc, France (Beethoven)
• Tournée en Italie avec l’ensemble des professeurs de l’Académie de
Tirana (Mozart, Beethoven, Rossini, Verdi....)
• Concert à l’UNESCO, avec l’orchestre occident-oriental comme
violon solo (Mozart, Poulenc)
Installée en France depuis le mois d’avril 2001, elle prépare actuellement
le concours d’entrée en cycle de perfectionnement au CNSM de Paris. C N S
Miranda Deliallisi a tenu son premier concert à Tirana à
l’âge de 8 ans. Omniprésente sur la scène Albanaise, elle
a été l’invitée de la radio-télévision. Prix spécial pour la meilleure
interprétation de Rossini (Italie), concours internationaux :
Naples, Sydney, Leipzig.
Diplômée de l’Académie des Beaux-Arts d’Albanie, du
conservatoire d’Aquila, elle fut admise dans la classe de
piano du maestro Aquiles Delle-Vigne à l’école Normale
« A. Cortot » où elle obtient les diplômes de piano et de musique
de chambre. Miranda Deliallisi se produit en récital en Italie,
Espagne et à Paris où elle vit actuellement. A 30 ans, elle se
consacre à l’oeuvre de J.S. Bach.

Samedi 03 avril à 15h30
Musique traditionnelle et populaire albanaise avec Xhavit Arifi et son groupe qui joueront pendant toute la semaine autour du verre de l’amitié

Tout au long de la semaine...
Photographies
Du 31 mars au 04 avril 2004
Centre Culturel Jean Vilar

Marie Ponchelet est née en 1940 à Brest. Elle vit à Paris et enseigne à l’école supérieure des Beaux-Arts du Mans. Son parcours artistique se caractérise par un intérêt pour l’histoire passée et présente. Elle se rend de nombreuse fois dans les pays de l’Est dans les années 80 et se trouve en Russie en 1998 au moment des grands changements. Elle participe au mouvement d’artistes se mobilisant pour la Bosnie où se rend régulièrement depuis 1996, ainsi qu’au Kosovo depuis 1999.
Ses installations éphémères sont construites à partir d’éléments, objets, textes, photographies, sons, rassemblés sur place. Elle veut transmettre le vécu et la mémoire des populations concernées. Elle expose au centre George Pompidou, New-York, Maastricht, Vienne, Moscou et Barcelone. Ses installations les plus récentes sont le résultat d’un travail fait avec les femmes et les enfants de Srebrenica en Bosnie-Herzégovine (Tuzla, La Villette, Nantes). Ken Qenë tre fëmij... Mitrovica juin 1999 a été réalisée à partir de documents et d’objets rapportés du Kosovo et d’Albanie, avec intervention de paticipants aux évènements. Après un voyage à Jérusalem elle a présenté une exposition sur la Palestine. Elle a en cours d’autres projets en rapport avec ses récents voyages à Sarajevo, dans les camps de réfugiés Tchétchènes de Nazran (Ingouchie). et dans les camps de réfugiés palestiniens de Sabra et Chatila (Liban) pour la commémoration
des massacres de 1982.
Installations de tapis provenant du Kosovo
Marie Ponchelet a aussi rencontré la chaleur de la convivialité, de l’amitié, de la confiance. « Dans les familles on se tient autour du poële, les tapis recouvrent le sol. Ils sont des symboles ont brûlé en même temps que les maisons » ditelle. Ce sont ces vieux tapis souvent usagés, mais mémoire
d’un passé, d’une culture que l’on a voulu détruire qu’elle a rapportés pour l’exposition.

L e r e t o u r v e r s l e f u t u r . . .
i n s t a l l a t i o n s é p h é m è r e s

Peinture de Ismail Bozhlani
Ismail Bozhlani est un artiste-peintre Albanais né au Kosovo le
11 octobre 1959. Il a passé de longues années en prison
pour s’être opposé au régime totalitaire et discriminatoire dans
son pays. A travers sa peinture, il exprime le destin tragique de
l’homme face à son destin.

Du 31 mars au 04 avril 2004
Centre Culturel Jean Vilar
L e P a s s a g e r
l ’ h o m m e f a c e à s o n d e s t i n

Jeudi 01 avril à 18h00
Samedi 03 avril à 17h30
Centre Culturel Jean Vilar
Cinéma « Exit »
Le destin de trois amis enfermés dans leur appartement durant la guerre au Kosovo. Contraints de se nicher pour leur survie, ils font face à un quotidien jalonné de tensions, mais dans lequel aussi l’amitié compte plus que tout. Étonnant huis clos qui parvient à mêler l’inquiétude au rire avec trois fois rien.
Court-métrage (30 minutes) réalisé par Blerta et Lendita Zeqiraj.
M e i l l e u r c o u r t - m é t r a g e d e f i c t i o n - L a u s a n n e 2 0 0 3
G r a n d p r i x v i d é o - C a e n 2 0 0 3

Bernard Kouchner, Ismail Kadare, Angelin Prejlocaj
seraient susceptibles de participer à l’évènement.
Pour la clôture de l’événement le dimanche
4 avril à 19h00, l’ambassade d’Albanie
organise le pot de l’amitié en présence de
l’ambassadeur Ferit Hoxha.
Vous trouverez également des œuvres albanaises
traduites en français de la maison d’édition
« l’Espace d’un intant », ainsi que des plats et boissons
traditionnelles.

Une production
Libre d’Esprit
Avec la ville de l’Île-Saint-Denis

En partenariat avec

 L’ambassade d’Albanie
 L’association Fehmi Agani - Courrier International
 La radio RFI
 Mission Intercommunale Insertion Jeunes