Adnan Terzic, ou l’indispensable incompétent de la Bosnie

Par Senad Pecanin Il est difficile de deviner si Terzic croit vraiment dans les mantras que lui ont prêté les représentants de la communauté internationale en Bosnie et Herzégovine, ou s’il se contente de suivre leurs ordres aveuglément. L’idée que l’ensemble des réformes dépend d’une décision sur la question du taux d’imposition unique que vont payer les Bosniaques et les Herzégoviens pour le pain, le sucre, l’huile, les manuels scolaires, le coca cola, les Nike et les Audi est tout aussi fondée que celle qui voudrait que les recettes transitionnelles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international tiennent compte des (…)