Jurnalul National

Roumanie : les investisseurs, étrangers à la réalité

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Un appartement de deux ou trois pièces dans un immeuble à Bucarest ne coûte plus 10 000 ou 12 000 dollars comme il y a trois ans, mais 25 000 $. Un tableau du célèbre Grigorescu ne se vend plus à 30 000 $, mais à 60 000 euros. Cela ressemble à s’y méprendre à une économie de marché fonctionnelle... sauf que le moteur de l’offre et de la demande fonctionne sur le dos des contribuables roumains.

Par Ionuţ Bălan Il faut aussi rappeler les récentes augmentations des actions en bourse qui ont atteint des records historiques. Tout cela démontre que l’Union européenne pouvait s’exprimer plus clairement sur l’état de fonctionnement de l’économie de marché roumaine. Voilà bien trois marchés tout ce qu’il y a de fonctionnel, non ? La demande a dépassé l’offre sur le marché immobilier, ce qui a conduit à l’augmentation des prix. C’est le marché ? Ca l’est. (...) Et les ventes aux enchères d’œuvres d’art sont envahies de Japonais qui ont terminé leurs investissements dans l’économie. C’est aussi valable pour le marché du capital. Cela (…)

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