Ta Nea
Rhodes : sur la plage de Faliraki, moins de touristes, moins de troubles...et surtout moins d’argent
Un silence absolu règne désormais sur la plage de Faliraki à Rhodes. L’action « vertu » lancée ces deux dernières années par les autorités locales contre les fiestas frénétiques des jeunes touristes britanniques, a réussi. Ces derniers ayant déménagé en Crète et à Zakynthos, les hôteliers et les petits et moyens entrepreneurs de la région sont déjà confrontés à de graves problèmes économiques car leurs hôtels et magasins sont désormais presque vides...
Par Giorgos Zahariadis
La circulation nocturne à Faliraki n’a rien à voir avec ce qu’elle était deux étés auparavant. « Dans les boites il y a des clients, mais ils sont plus âgés et ne boivent pas plus d’un verre » dit M. Giorgos Statiou, un des plus anciens propriétaires de bar dans la région.
« Maintenant les étrangers viennent à l’hôtel avec le système All Inclusive ayant déjà payé dans leur pays une somme qui couvre toute leur consommation. Ainsi, n’ont-ils pas de raison de sortir des hôtels. »
Cette année à Faliraki il n’y a même pas une seule patrouille de police, puisqu’il n’y a plus l’utilité. Le « bulletin d’incidents (…)
Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !
