Birlik

Macédoine : difficile recensement de la population turque

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Les familles turques claquent la porte au nez des enquêteurs qui ne parlent pas turc, et sont décidées à réclamer leurs droits déterminés par la loi, c’est-à-dire parler le turc, au même titre que le macédonien, lors du recensement.

Dès le début du recensement, sont apparues les premières plaintes et les premières révoltes. À Tetovo, Jupa, Rostuse, Skudrinje et en d’autres lieux où sont apparus les mêmes problèmes, des commissions vont intervenir pour étudier les problèmes évoqués. Dès des premiers jours du recensement, qui se déroule tous les dix ans dans le pays, les enquêteurs se sont heurtés aux révoltes et aux insatisfactions des familles turques. Les familles turques demandent l’application rigoureuse des Accords d’Ohrid, ainsi que de la loi sur le recensement, qui garantissent leur droit d’utiliser la langue turque autant que la langue macédonienne. Un (…)

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