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Intégration à l’UE : la Moldavie « assez forte » pour résister à Moscou
En visite aux États-Unis, la ministres des Affaires étrangères moldave a reconnu que Moscou faisait pression sur son pays pour empêcher son rapprochement avec Bruxelles. Depuis la défaite du Parti communiste aux législatives de 2009, Chișinău s’est résolument engagé vers l’intégration européenne. Prochaine étape, la signature d’un ASA, peut-être en novembre.
Par Richard Solash
Au moment où Chișinău consolide ses liens avec Bruxelles, la ministre des Affaires étrangères moldave assure que son pays est « assez fort pour résister à toute pression » venant de la Russie.
« Il est possible que nous soyons confrontés à des défis sur ce [front], bien entendu, venant autant de l’intérieur que de l’extérieur de la République de Moldavie », reconnaît Natalia Gherman, « mais je crois fermement que nous sommes assez forts pour résister à toutes les pressions [et] maintenir le choix souverain du peuple moldave de devenir un État membre de l’Union européenne dans un avenir prévisible ».
Moscou (…)
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