Entre musique des Balkans et rock français, La Caravane Passe fait un véritable appel à la fête. Depuis 5 ans, le public est nombreux et répond présent quand il s’agit de danser et de se défouler sur leurs rythmes tziganes endiablés.
La Caravane Passe a un univers, un répertoire et une langue qui lui sont propres : l’universelle Fiesta !
Autour de ce répertoire est né Le Vrai Faux Mariage. On y célèbre les noces de Sacha et de Mona, un tzigane et une juive, originaires de Plèchti, (village imaginaire du nord de l’Albanie).
Un méga-concert délirant entre rock français et musique des Balkans, où le public se retrouve acteur-invité à fêter cette union parmi les acrobates, danseurs, clowns et magiciens.
Le public arrive dans une salle séparée en deux par une corde tendue. « Les hommes à gauche, les femmes à droite, ordonnait un maître de cérémonie déjanté » (Le Parisien). Le mariage est à la fois cérémonial et burlesque. Après quelques rites judéo-tziganes, la corde se lève et le bal est ouvert.
Tout s’entremêle alors, et tout devient possible. Magie, envolées, résurrection et danses.
On retrouvera Le Vrai Faux Mariage de La Caravane Passe au Cabaret Sauvage les 3 novembre et 16 décembre.
Qui sont-ils ?
Mona c’est Môh Aroussi, splendide mariée, la Mona Lisa travestie
Sacha c’est Yann-Yvon Pennec, tzigane charmeur, infidèle et déluré
Toma Feterman, le marieur, Mr Loyal, chanteur banjoïste et trompettiste
La Cigancica, cousine de Sacha, danseuse de transe et de charme
La Barmaid, cousine de Mona, maîtresse de Sacha
Raki-Julius et Raki-Grec, serveurs jongleurs acrobates et clowns
Llugany barit dans son Fiscon (cuivre catalan) ou dans son trombone basse
Zinzin Moretto fait frémir le public avec ses saxophones
BenBody l’assise du groupe, la contrebasse qui fait trembler et bouger
Pat Gigon, c’est la batterie, les chevaux, l’énergie brute de La Caravane
El Rakiriko, le sorcier de Plèchti
Rakistoof, le Loyal
Elsa, la trapéziste, contorsionniste
