La Croatie et la Serbie ont-elles honte de leur héritage antifasciste ?
Nom de rues effacés, monuments démolis ou laissés à l’abandon... En Croatie et en Serbie, les autorités cherchent à cacher l’héritage de la lutte antifasciste comme la poussière sous le tapis. Et à réhabiliter, au contraire, des collaborateurs notoires. Sans jamais évoquer les questions qui fâchent, comme la participation à l’Holocauste. Entretien croisé.
Traduit et adapté par Nikola Radić (article original)
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