Entre Albanie et États-Unis : Ani Gjika, la langue de l’exil et la langue de la poésie
Elle a passé son enfance en Albanie, auprès d’une grand-mère qui pratiquait le protestantisme en cachette, avant de suivre ses parents émigrés aux États-Unis... Écrivaine et traductrice de poésie, Ani Gjika parle de la violence patriarcale, des langues et de l’exil. Rencontre.
Traduit par Jacqueline Dérens (Article original) | Adapté par la rédaction
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