Bulgarie : à défaut d’avenir, luttons pour le passé
En Bulgarie, septembre est la saison des grands débats, surtout s’il s’agit de la Seconde Guerre mondiale. La prise du pouvoir par les forces antifascistes dans la foulée de l’arrivée de l’Armée rouge à Sofia a-t-elle été un « putsch », comme la droite le répète, ou une « révolution libératrice » ? La querelle n’en finit pas, signe que la classe politique actuelle n’a plus grand-chose de neuf à proposer et préfère regarder vers le passé plutôt que l’avenir. Analyse.
Traduit par Chloé Billon
Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !