Evenimentul Zilei

Un parti politique « trop curieux » ennuyé par les autorités roumaines

| |

Deux cents personnes priées de se rendre au poste de police pour reconnaître avoir exercé tout simplement leur droit : celui de demander aux autorités l’accès à des informations d’intérêt public. Voici ce que dénonce le Parti de l’action populaire, dont les personnes convoquées pour enquête par les forces de police sont des militants actifs. L’Action populaire avait demandé à ses militants de faire valoir leur droit établi depuis la loi 544 de 2001 afin d’apporter la lumière sur une possible affaire de détournement de plusieurs millions d’euros.

Par Ovidiu Banches Le Parti de l’action populaire (AP) a dénoncé hier une action de grande envergure menée par la police, à la demande du Ministère de la Justice. Une enquête a été ouverte à l’encontre de plus de deux cents de ses membres, pour usage de fausses signatures, à la suite de leur demande de d’obtention d’informations d’intérêt public, concernant « l’affaire du Palais de Justice ». L’AP considère que faire une enquête sur des personnes dont le seul tort est d’avoir exercé un droit fondamental, en demandant aux autorités de leur fournir des informations d’intérêt public, est une « action digne de la police politique de type (…)

Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !

S'abonner      Identifiez-vous