Serbie : « il n’y a pas de nationalisme sans violence »

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Dimanche 10 octobre 2010, Belgrade, Gay Pride. Mardi 12 octobre, Gênes, match Italie-Serbie. Ces deux jours-là, les hooligans et militants d’extrême-droite ont fait régner la haine et la terreur, relançant le spectre d’un nationalisme toujours latent en Serbie. Dix ans après le mouvement du 5 octobre 2000, des groupuscules bien organisés continuent de contester par la force la voie démocratique sur laquelle s’est engagée Belgrade. Ivan Čolović, ethnologue spécialiste des questions nationalistes, analyse cette flambée de violence. Entretien.

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