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Roumanie : le problème des enfants des rues
Nous nous sommes habitués, quand quelque chose nous attriste, à détourner le regard. Ainsi, nous nous focalisons sur nos soucis sans trop nous préoccuper de ceux des autres. Nous sommes habitués à compatir. Il nous arrive d’apprécier et d’aider une personne nécessiteuse. À cela, une condition : que son cas soit isolé. Si plusieurs se présentent, cela devient banal, et « beaucoup » devient « trop ». Nous soulageons alors notre conscience en pensant qu’il est impossible d’aider tout le monde. Nous préférons ne plus penser, et fermer les yeux. Peut-on être attristé par une chose qu’on ne voit pas ?
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