Par la rédaction du Courrier des Balkans
Née au Havre en 1981 d’une mère française et d’un père hollandais, j’ai étudié la musique à Paris puis à Prague. Ma carrière de musicienne d’orchestre m’a amené à travailler pendant 5 ans en République Tchèque puis en Bosnie-Herzégovine. Arrivée en 2007 sur invitation de la Philharmonie de Sarajevo, je n’ai plus quitté ce pays et y ai repris des études de droit en 2009. Actuellement en deuxième année de Master en droit public et international, je collabore avec le Courrier des Balkans depuis 2008.
Le Courrier des Balkans ce n’est pas seulement le seul média indépendant sur les Balkans en langue française. C’est aussi un extraordinaire réseau de journalistes, traducteurs, passionnés, issus d’horizons variés, qui s’est constitué durant 15 ans et qui mettent quotidiennement à la disposition de leurs lecteurs leur expérience et leur connaissance de cette région complexe d’Europe.
C’est en 2001 que j’ai le coup de foudre pour Split et depuis 2002, c’est là ma base. Enseignement, traductions, révisions, journalisme, travaux photographiques, fixing pour des chaînes de télévision étrangères et divers projets concernant les droits humains : plusieurs casquettes par nécessité économique et surtout par intérêt.
Auparavant, j’avais passé un an aux Etats-Unis avant de boucler des études en section internationale à l’Institut d’Etudes politiques de Lyon puis un DEA en « Relations interculturelles anglophones et francophones » (Paris IV) : regards entre cultures, stéréotypes, phénomène d’acculturation…. Au lieu d’enchaîner de suite sur un doctorat, un tour dans le monde pour rencontrer l’Autre, découvrir l’Ailleurs, comment on y vit, mange, travaille, vibre. En autostop ou vélo, camping sauvage et chez l’habitant. Pour sentir et pouvoir se souvenir sans cesse ce qu’est l’essentiel : une gorgée d’eau, un toit, un sourire, le partage, et le monde là tout autour. Du travail ici et là pour découvrir toutes sortes de mondes et de milieux professionnels qui me seraient sinon restés à jamais inconnus.
Je collabore avec le Courrier des Balkans depuis 2012 pour l’écriture d’articles et la traduction d’articles de la presse croate. Une double façon de prendre la température de cette région-carrefour si riche et si complexe, à la fois si proche et si différente de l’Europe de l’ouest et qui rend le CdB unique dans le monde médiatique.
En soutenant le Courrier des Balkans, vous soutenez l’indépendance d’un média vraiment soucieux de fournir un journalisme de qualité à ses lecteurs et une équipe motivée à faire connaître cette mosaïque encore si méconnue, au-delà des stéréotypes et des litiges. En soutenant sa rénovation actuelle, vous aidez aussi à la création d’une plateforme unique d’échanges et de débats pour tous ceux que la région passionne.
Je suis correspondant à Istanbul pour la presse francophone après l’avoir été durant cinq ans à Moscou et à Kiev. Mon histoire avec le Courrier des Balkans est plus ancienne, puisque j’y collabore depuis 1999, à l’époque où le petit Courrier balbutiant était un site internet fait de bric et de broc.
Le Courrier des Balkans, c’est une belle aventure journalistique et humaine, un média qui a su conserver ses aspects militants tout en se professionnalisant. Soutenir le Courrier des Balkans, c’est non seulement soutenir l’indépendance de sa parole, c’est aussi contribuer à un projet unique en son genre : un média libre et pluriel, participatif et exhaustif, qui s’apprête à faire sa mue et à passer à l’âge adulte, et qui réserve encore beaucoup de surprises à ses lecteurs...
Alexandre est l’un des cinq membres de la rédaction-en-chef collégiale du Courrier des Balkans.
Née en Serbie. Diplômée de la Faculté des Beaux-Arts de Belgrade. Vit et travaille dans les Balkans comme photographe de presse tout en menant ses propres projets artistiques (et souvent en combinant les deux).
Le Courrier des Balkans m’offre une liberté de ton inédite dans les autres médias. Quand je pars en reportage, un seul mot d’ordre de la rédaction : « carte blanche ». Créativité, confiance et respect des piliers normatifs du journalisme sont la marque de fabrique de ce média à part dans le monde de la presse - en particulier dans la région où le journalisme indépendant et pluraliste est aujourd’hui bien mal en point.
Voilà pourquoi il faut soutenir Le Courrier des Balkans !
Géographe de formation, j’ai découvert les Balkans un peu par hasard, un jour de janvier 2004. C’était à Sarajevo, 10 cm de neige recouvraient la ville et le thermomètre affichait entre -5 et -15°C. J’arpentais la ville de long en large dans le cadre de mon master, une recherche sur la reconstruction après le siège. Au moment de partir, j’ai bu l’eau de la fontaine du Sebilj, et, comme le veut la légende, je suis revenu. Évidemment.
Depuis, j’ai rejoint les rangs du Courrier des Balkans, un média qui m’avait été essentiel à Sarajevo. J’y ai notamment développé la webradio Balkanophonie, qui tente de donner à entendre les musiques des Balkans dans toute leur diversité. Aujourd’hui, le CdB, c’est toujours une petite entreprise essentielle pour informer sur cet espace européen si attachant et malheureusement méconnu. Soutenir le CdB, c’est soutenir une presse de qualité, engagée, où chacun des membres de l’équipe amène ses compétences, son originalité et sa créativité, et qui fait un travail que personne d’autre ne fait.
Simon est l’un des cinq membres de la rédaction-en-chef collégiale du Courrier des Balkans.
Installée depuis quelque temps à Lyon, où j’enseigne, et après quelques détours européens, je m’envole dès que possible vers la Grèce où j’ai effectué une partie de mes études. C’est d’ailleurs après un retour de Thessalonique et un master en politiques linguistiques que j’ai rejoint la sympathique équipe polyglotte du Courrier des Balkans qui m’a fait confiance.
Persuadée qu’une information de qualité passe par la diversité des regards, je pense que le Courrier est d’abord un moyen de lire en version originale ce qui s’écrit dans les Balkans sur les Balkans, un support qui donne sa place à des médias qu’on ne relaie pas ailleurs dans le monde francophone. Aussi source d’analyses indépendantes qui permettent de mieux comprendre ce territoire fascinant, c’est donc un média important qui a besoin de votre aide pour continuer à décrypter cette information et faire vivre les liens entre la France et les Balkans !
Les Balkans et Le Courrier ont été mon école de journalisme et bien plus encore... C’est sur les chemins du Kosovo et du Monténégro que j’ai appris à écouter les histoires et à essayer de les raconter. Au sommet des vallons de Bosnie centrale, ou le long des côtés albanaises, j’ai découvert la chaleur des peuples de la région et l’amitié de l’équipe avec laquelle le Courrier vit depuis depuis des années. Certains partent, d’autres arrivent, tous finissent un jour par revenir.
Soutenir Le Courrier des Balkans, c’est non seulement permettre à une source d’information essentielle de travailler, mais aussi autoriser la réalisation de projets fous et militants, qui maintiennent, quelque part, un flamme allumée.
Laurent est l’un des cinq membres de la rédaction-en-chef collégiale du Courrier des Balkans.
L’idée du Courrier des Balkans est née un beau jour de mars 1998, sur la vieille route de Kolašin à Andrijevica, au Monténégro, où je vivais alors avec un ami.
Le Courrier est né là, il a grandi à Cetinje, au pied du Mont Lovćen, regroupant un cercle d’enthousiastes qui, pour beaucoup, ne sont jamais partis : Jasna, Persa, Mandi, Belgzim, pour citer quelques uns des « anciens »... Le Courrier, c’est une histoire d’amitié, bien sûr. D’amitié, de passion pour une région, de fidélité aussi à quelques principes.
Le Courrier a connu une alternance de (rares) années un peu fastes et de pas mal de lunes de vaches maigres, il a déplu à certains, suscité la haine farouche de ceux qui ont cru pouvoir l’acheter ou le faire taire, mais le cercle de ses lecteurs s’est toujours élargi, ainsi que celui de ses collaborateurs, de ceux qui viennent heureusement bousculer les habitudes...
Le Courrier est aujourd’hui au seuil d’un nouveau palier de son histoire : le passage de l’adolescence à l’âge adulte ? Peut-être, mais alors en conservant toujours assez de naïveté dans son regard et de folie dans ses projets...
Jean-Arnault est l’un des cinq membres de la rédaction-en-chef collégiale du Courrier des Balkans.
C’est un plaisir de travailler pour une rédaction qui réunit des gens qui connaissent et aiment les Balkans. Savoir que des dizaines de millions de francophones, partout à travers le monde, peuvent lire mes articles, c’est aussi quelque chose qui me rend heureux quand j’écris pour le CdB.
Je vis et je travaille dans une très belle ville des bords de l’Adriatique, Ulcinj, un endroit où se croisent des cultures, des civilisations et des religions, dans un pays qui est également très beau, le Monténégro.
Je veux continuer à présenter leurs visages au monde de manière juste et professionnelle, car je n’ai pas l’habitude d’aimer ma ville et mon pays les yeux fermés. Au contraire, je crois que nous leur devons la vérité, avant toute chose.
Et je veux remercier tous mes amis du CdB qui comprennent mes efforts, mes désirs et ma vision.
Croate d’origine, j’ai rencontré le Courrier des Balkans lors de la rédaction de ma thèse de doctorat en langue française sur les Balkans occidentaux et leur intégration à l’Union européenne, une tentative de renouer mon passé balkanique avec mon présent européen.
Une fois ma thèse soutenue, j’ai commencé à proposer à la rédaction des articles tirés en partie de ma thèse et au fur-et-en mesure que les années passaient de mes activités de recherches successives. Les Balkans c’est une passion et une appartenance qui est toujours là, et qui resurgit de temps en temps avec l’envie de la partager avec les autres. D’où l’importance de contribuer au maintien et à la rénovation du site et du projet de partage qui est derrière l’idée du Courrier des Balkans...
J’ai fait des études de droit et de Langue et Littérature fançaise. Mais à cause des événements au Kosovo, depuis le début des années 1990, j’ai beaucoup travaillé comme interprète et stringer pour de nombreux médias internationaux, presse écrite ou télévisée, en anglais et en français. Et je suis tombée en amour avec le journalisme.
J’ai commencé à collaborer avec le Courrrier des Balkans par le biais de mon frère Belgzim qui faisait partie de l’équipe dès les premiers jours. J’ai accepté la proposition de Jean-Arnault Dérens pour, tout d’abord, des raisons personnelles : ma passion pour l’écriture et le journalisme. Mais aussi des langues, de la traduction… et des Balkans. Et pour cette bande de copains, ou cette famille, que nous formons.
Aujourd’hui, je ne pourrais pas imaginer ne plus être du Courrier. Comme je ne peux pas imaginer que ceux qui s’intéressent comme nous aux Balkans, aux richesses culturelles et linguistiques, à la complexité politique, aux crises nationalistes et économiques de cette région passionnante, ne viennent pas puiser sur le site du Courrier infos, reportages, portraits, rendez-vous, débats, analyses, entretiens... présentés dans un souci d’indépendance, de respect, d’éthique et d’impartialité.
Né à Montréal en 1973, je vivais à... Tokyo lorsque j’ai commencé, en 2002, à corriger puis à traduire des articles de l’anglais pour le Courrier des Balkans. Épris de littérature, j’ai roulé ma bosse et mené des études de Lettres conclues par une maîtrise portant sur Emil Cioran et Blaise Pascal. Attentif aux questions entourant les minorités et ayant suivi les événements qui ont bouleversé les Balkans durant les années 1990, ma présence au CDB n’était sans doute pas un hasard. Je vis à Paris depuis 2007 avec ma femme et ma fille. J’y enseigne le français et l’anglais tout en étant traducteur indépendant. Je suis également écrivain.
En tant qu’étranger venu d’Amérique, je pense que l’intégration européenne est une expérience politique unique jusqu’ici dans l’histoire par sa nature cosmopolite et qu’elle vaut la peine d’être poursuivie. Ma contribution au CDB est, j’ose le croire, la modeste pierre que j’apporte à la construction de mon continent d’adoption.
C’est le hasard qui m’a amené dans les Balkans pour la première fois en 2006, au détour d’un voyage d’initiation d’une semaine à Srebrenica puis dans le reste de la Bosnie. J’étais venu avec des questions simples, j’en suis reparti avec des questions mieux posées et la ferme intention d’y apporter quelques éléments de réponse.
Et quand on veut se renseigner en langue française sur les Balkans de façon objective et exhaustive, personne ne peut rivaliser avec le Courrier des Balkans. C’est comme ça que de fil en aiguille j’ai participé à l’ouverture du Courrier de la Serbie au premier semestre 2008. Par goût personnel, mais aussi parce que les murs de Belgrade sont recouverts de graffitis à la gloire de Zvezda et du Partizan et que l’histoire d’Arkan est bien connue, j’ai alors fait un intense lobbying pour que le sport, notamment sa dimension sociale et politique, soit davantage traité dans le Courrier, comme l’illustre Les Balkans et le sport que nous avons publié en 2010. J’ai même poussé le vice jusqu’à en faire le sujet de ma thèse que je suis en train d’achever.
Le Courrier des Balkans accompagne tous ceux qui, profanes ou connaisseurs, rejettent le balkanisme avec lequel la région est traitée partout ailleurs au détour d’un conflit ou d’un match de football interrompu. C’est notre honneur et surtout notre devoir que de mettre à disposition du lecteur francophone les clés de lecture qui lui permettront de déjouer les pièges de tous les sophismes.
Le Courrier des Balkans est une grande famille dont l’activité d’information est d’utilité publique. Il ne tient qu’à nous de lui permettre de poursuivre son indispensable mission. Donnez ! Et Tito vous le rendra.
Ayant grandie en France depuis l’âge de deux ans, découvert mon pays d’origine il y a 26 ans, pendant mes études de langues, j’ai vu naitre le Courrier des Balkans et se développer.
Je l’ai suivi depuis et rejoins en 2010 en tant que traductrice. Il est et reste pour moi l’outil d’information en France pour les Balkans, le média indépendant de référence.
Le Courrier des Balkans doit poursuivre sa mission d’investigation, d’analyse et d’information.
Afin qu’il continue de publier et pour que le lien de la communication entre la France et les Balkans ne s’arrête pas là, nous avons besoin de votre soutien et nous vous remercions de votre contribution.
Né en 1978, rédacteur à l’hebdomadaire Dilema veche de Bucarest, où je tiens une chronique culturelle européenne. Je suis aussi coréalisateur d’une émission quotidienne d’actualité à la Radio România Cultural. Particulièrement intéressé par les politiques culturelles et les enjeux du multiculturalisme en Europe, je travaille également comme traducteur du français et de l’allemand vers le roumain.
Collaborer au Courrier des Balkans, c’est tout d’abord une manière d’exercer la langue française, mais c’est aussi un travail journalistique très spécial. Ce n’est pas évident d’expliquer, dans des brèves, les méandres et les dessous de la politique interne à un public intéressé, mais qui connaît peu la Roumanie. Souvent, c’est a travers cet exercice que l’auteur lui-même commence à comprendre…
Par ailleurs, les Balkans sont une région méconnue de l’Europe. Les médias « classiques », en crise, hélas, ne s’intéressent guère au destin de ces pays pourtant voisins à l’UE. Soutenir cette source alternative d’info, c’est s’assurer de maintenir le contact avec les futurs membres de l’Union.
Mais pourquoi donc suis-je embarquée dans l’aventure du Courrier des Balkans ? Rien ne m’y prédisposait. Née à Paris, des études d’anglais à la Sorbonne, une carrière d’enseignante, une passion pour la Bretagne, mais où sont les Balkans dans tout cela ? La vie est un roman aux multiples intrigues qui vous mènent vers des rivages inconnus sans crier gare. Une fois débarquée sur les rives balkaniques, on y reste parce qu’on aime Dubrovnik, Sarajevo, Skopje, Tetovo, Belgrade, Tirana, Cetinje, Ulcinj, et tant d’autres villes et bourgades moins connues et tout autant séduisantes. Au gré des rencontres, on se prend à aimer ces peuples si différents et si semblables, avec leur façon de vivre et leur histoire douloureuse. On se demande alors comment on a pu vivre tant d’années en ignorant tout des Balkans. Pour rattraper le temps perdu, on commence par traduire des articles, puis on accepte, avec grande légèreté, de mettre de l’ordre dans les finances, et pour vous féliciter de ce bon travail, on vous donne la charge de trésorière. Et maintenant, il faut continuer cette belle aventure, partir avec tout l’équipage, du moussaillon au vieux matelot que rien n’effraie et surtout pas les nouveaux défis.
Le Courrier des Balkans, une aventure qui se fait avec vous, amis et lecteurs fidèles, qui nous accompagnez depuis plus de quinze ans.
Né en Belgique. Etudes de Philosophie et Lettres à Bruxelles. Puis, de traduction littéraire du néerlandais vers le français. Déménagement à Belgrade en 2007. Correspondant régional pour divers médias francophones : belges, français et suisse.
Depuis 1998, Le Courrier des Balkans est un outil précieux et indispensable d’information pour qui s’intéresse à cette région encore trop prisonnière des stéréotypes. C’est aussi, et surtout, au sein de la rédaction, un espace unique de liberté et de travail : une véritable ruche interactive où toutes les imaginations et les intelligences arrivent avec leur miel pour produire l’actualité au quotidien. C’est enfin un instrument de solidarité pour une presse libre dans la région. C’est pourquoi il faut soutenir le Courrier des Balkans.
Philippe est l’un des cinq membres de la rédaction-en-chef collégiale du Courrier des Balkans.
Née à Paris et basée à Belgrade depuis quelques années déjà, je suis documentariste et chercheuse indépendante dans le domaine des études culturelles. Particulièrement intéressée par les cultures populaires contestataires, je travaille sur les phénomènes liés à la transition néolibérale dans les pays ex-yougoslaves et particulièrement à leurs implications sur la jeunesse.
Je collabore avec le Courrier des Balkans en tant que traductrice et journaliste culturelle depuis 2008. Le Courrier est un outil formidable qui à mes yeux sert avant tout à ébranler l’image négative et stéréotypée que l’Occident se fait des Balkans, souvent présentés comme cet « Autre » qui fascine et effraie à la fois. Avec votre aide, l’équipe du Courrier pourra continuer à rendre toute sa richesse et sa complexité à une région finalement si méconnue.
Originaire d’Agen, j’ai quitté le Lot-et-Garonne à 20 ans pour la vie parisienne. Après des études de Littérature française, j’ai débuté mon activité journalistique dans un magazine consacré à la région du Caucase et j’ai alors pris goût au reportage et à l’étranger. Au fil de ces années-là, plusieurs rencontres m’ont donné envie de poser mes valises dans les Balkans. Il y a six mois, je m’installais à Zagreb que je découvrais pour la première fois. Depuis, je collabore régulièrement avec le CdB.
Le Courrier des Balkans est beaucoup plus qu’un portail d’actualités. Autour de ce média, c’est toute une communauté qui se réunit : passionnés d’histoire, voyageurs, balkanophiles... Il donne la voix à une région fascinante et en relate tous les aspects du quotidien. De la politique à la gastronomie, il y en a pour tous les goûts. Le soutenir, c’est tout d’abord alimenter ses lecteurs exigeants !
Monténégrine, originaire de Cetinje, j’ai étudié la langue et la littérature française, d’abord à Novi Sad (Voïvodine, Serbie), puis à l’Université Stendhal de Grenoble, et finalement à l’Université de Strasbourg où j’ai soutenu ma thèse de doctorat en linguistique française. J’habite actuellement à Podgorica et enseigne le français moderne et la traduction à l’Université du Monténégro. Je suis en même temps interprète accréditée auprès des institutions européennes pour le français, l’italien et bien évidemment les langues BCMS (bosniaque, croate, monténégrin, serbe).
J’ai eu la chance de rencontrer Jean-Arnault Dérens dans ma ville natale en automne 1998, à la fin de mes études du premier cycle et au tout début de la naissance du Courrier des Balkans. Avec l’équipe grandissante du Courrier nous avons vécu ensemble de bons moments en apportant un soutien important à la presse indépendante des Balkans dans les années difficiles. Le soutien à la liberté des médias est une bataille qui ne finit jamais, notamment dans la région, et je tiens beaucoup à ce que le Courrier des Balkans poursuive son activité, au bénéfice de ses lecteurs francophones et de la presse régionale.
Travailler pour le CDB a été et est toujours un enrichissement : en dehors du perfectionnement professionnel, le CDB m’a permis de tisser les liens d’amitié avec les gens qui partagent les mêmes valeurs et les mêmes passions.
Soutenir le Courrier des Balkans, c’est soutenir le droit à l’information de qualité mais aussi la démocratisation et la liberté de la presse dans les Balkans.
Je m’appelle Ivo Hristov et je suis journaliste a la Télévision Nationale Bulgare. Depuis 2013, j’ai l’honneur de faire partie de l’équipe du Courrier des Balkans.
Je trouve que c’est une noble mission, car les lecteurs ont de plus en plus besoin de médias de référence spécialisés pour se retrouver dans un flux d’information générale, souvent imprécise et superficielle
Née en France de parents monténégrins, j’ai adopté leur pays natal en venant m’y m’installer avec mon époux en cette lointaine année 1967. Ayant travaillé un temps dans une entreprise d’import export en tant que traductrice, j’ai rejoint le Centre culturel français de Podgorica (actuellement l’Institut français) en participant à son ouverture en 1997. Cela a été pour moi le lien déclencheur puisque c’est là que j’ai fait la connaissance de notre rédacteur en chef, Jean-Arnault, qui venait tout juste de créer le site du Courrier des Balkans. Ce fut une heureuse rencontre puisque 15 ans après je suis toujours là, avec Jasna et Mandi qui étaient déjà actives pour les premières traductions. Nous avons eu le temps au fil des années de tisser d’autres liens que ceux purement professionnels. Bien que l’heure de la retraite ait sonnée depuis longtemps pour moi, je ne pense aucunement à ‘tirer ma révérence’ et ce n’est qu’en cas de force majeure que je le ferais.
Tout au long de ces années j’ai assisté à l’élargissement progressif du Courrier, composé d’un nombre imposant de traductrices/teurs, de journalistes sans oublier naturellement tous les lecteurs qui se sont engagés pleinement en apportant leur savoir, leurs idées et suggestions. Je suis heureuse de faire partie de cette jeune équipe compétente, dynamique et enthousiaste qui mérite d’être reconnue pour son engagement afin que cette formidable entreprise du Courrier des Balkans continue d’exister encore longtemps. C’est pourquoi votre soutien sera autant utile que précieux.
Rodolfo Toè, né à Conegliano Veneto, Italie, en 1985. Je suis traducteur et correspondant depuis Sarajevo pour le Courrier des Balkans aussi bien que pour d’autres journaux depuis 2011.
Fasciné par la Bosnie-Herzégovine (et aussi par la Slovénie, ayant vécu longtemps entre Trieste et Gorizia), je crois qu’il est important de soutenir le Courrier des Balkans car il est le seul site a donner tant d’espace aux médias de la région balkanique. De même, le CdB est un témoignage important de la présence francophone dans les Balkans.
Née en Charente il y a 28 ans et avec une adolescence vécue sur l’île de la Réunion, rien ne me prédisposait à venir habiter en Roumanie. C’est un premier voyage en 2005, puis un deuxième l’année suivante, et enfin un an de master en Erasmus qui ont achevé de m’attacher à Bucarest.
Je travaille donc sur la Roumanie et la Moldavie comme journaliste multimédia et je jongle avec le stylo, l’appareil photo et le micro.
C’est grâce à Mehdi Chebana, l’ancien correspondant du Courrier des Balkans à Bucarest, que je lisais depuis des années, que j’ai fait la connaissance de l’équipe. Le Courrier des Balkans, c’est une liberté précieuse dans le choix des sujets abordés. Mais c’est aussi une liberté de ton dans l’écriture, où l’engagement politique a toute sa place. Et cette liberté doit continuer d’exister, autant pour nous journalistes, que pour vous lecteurs...
Né en Albanie, j’ai grandi en Grèce. Je suis politologue et juriste spécialisé dans les droits de l’homme, un pur produit de la diaspora albanaise contemporaine en Europe... Rien de mieux pour vivre la saga de la « Schengen Twilight Zone » ou faire face aux atavismes nationalistes de notre belle région, mais surtout pour essayer de comprendre ce qui unit nos peuples au lieu de chercher ce qui peut les diviser.
C’est en Grèce aussi, pendant ma licence, que j’ai fait connaissance pour la première fois avec Le Courrier des Balkans. Je n’aurais jamais imaginé, alors, que cette prise de contact allait, plus tard, pendant mes études à Strasbourg et à Paris, devenir une grande amitié.
Le Courrier des Balkans est une communauté dédiée au transfert objectif et pluraliste de l’essentiel des vies des peuples des Balkans. Il veut poursuivre sa mission : apporter une information humaine et détachée de toute dépendance politique et économique.
Pour cela, nous avons besoin de votre aide !
Née à Paris de parents originaires de Macédoine, trouver un travail permettant de garder le lien entre la France et les Balkans était une évidence pour moi. Issue du monde de la communication et du tourisme, mon parcours professionnel mêlé à mes origines m’a tout naturellement conduit à lier ces deux éléments en étant traductrice/interprète, entre autres, d’abord à Paris puis en Macédoine où je me suis installée depuis cinq ans.
Mon histoire avec le Courrier des Balkans a démarré un peu par hasard il y a quatre ans déjà, mais j’ai tout de suite été adoptée par cette famille de cœur aussi représentative que l’est cette région des Balkans que j’aime : multiculturelle et multiconfessionnelle. Quant à moi, j’y ai trouvé un moyen de garder le lien entre mes deux ports d’attache tout en cherchant à transmettre la richesse et la complexité de cette région si incomprise dans le reste de l’Europe.
Soutenir le Courrier des Balkans, c’est permettre de garder un média indépendant, fort d’une équipe aux multiples facettes, à poursuivre sa mission d’information, d’investigation et d’analyse des sociétés balkaniques. Dans un contexte de crise du monde de la presse, le soutien des lecteurs et des utilisateurs du site devient indispensable si l’on veut que l’aventure démarrée en 1998 se poursuive et surtout progresse dans sa mission d’information. Le Courrier des Balkans étant le média francophone de référence pour cette région, il serait inimaginable de voir le paysage médiatique sans lui. Votre contribution, quelle qu’elle soit, est importante pour nous, merci de votre soutien !
Né en 1975 du côté de Namur (Belgique), politologue et journaliste, militant des droits de l’homme. Journaliste au CdB depuis sa création, et collaborateur régulier d’autres médias internationaux et régionaux, je partage mon temps entre Preševo/Presheva, Pristina et Tirana... Il faut soutenir le CDB, car ce n’est pas seulement le seul site d’information en français sur les Balkans, mais aussi un site qui a réussi à relever le défi de regrouper des journalistes professionnels de toutes les nationalités. Tout simplement pour faire du journalisme, sans clichés (multi)ethniques. Le CdB a réussi, sans aide « internationale » à construire un véritable journalisme « balkanique », professionnel, culturel, humain et anti-fasciste. Le CdB, c’est la voix journalistique de l’union professionnelle et humaine, et c’est en francais !
Né en Grèce j’ai grandi et fait toute ma scolarité à Bruxelles au sein d’une école européenne, et c’est probablement pourquoi je raisonne avant tout comme un Européen.
Revenu en Grèce à 20 ans, j’ai fait des études de communication et une maîtrise de Sciences Politiques. Je travaille pour les médias francophones depuis plus de six ans. J’écris pour le Nouvel Observateur, l’Humanité Dimanche et le fabuleux Courrier des Balkans.
Si vous voulez un média vraiment à l’écoute de la société grecque, qui propose des articles longs d’info comme d’analyse, qui vont très souvent contre les idées reçues, le Courrier des Balkans est fait pour vous.
Si vous rêvez d’un média qui vous informe sur les Balkans en général sans imposer une « ligne » à ses journalistes, le Courrier des Balkans a été créé pour vous.
Et si vous savez pourquoi la presse indépendante et essentielle pour une démocratie digne de ce nom, ne vous inquiétez pas : le lien pour nous financer est en bas de cette page !
Traductrice de la presse albanaise depuis les débuts de l’aventure du Courrier des Balkans, je suis installée à Rennes depuis presque 20 ans, où je suis par ailleurs formatrice... Traduire la presse albanaise, mais aussi italienne, reste pour moi l’occasion de faire vivre mes deux passions : la pratique des langues étrangères et la navigation entre les cultures ainsi que la volonté de faire découvrir mon pays natal, l’Albanie. C’est pour moi, par-dessus tout, un engagement personnel et la poursuite de très forts liens d’amitiés qui m’attachent au journal, à son équipe et à son esprit d’indépendance.
Soutenir le Courrier des Balkans c’est permettre à cette fenêtre, quasi unique, ouverte sur le monde balkanique d’exister et de progresser dans son ambition de journalisme d’information, d’enquête et son expertise dans la connaissance des rouages complexes des réalités balkaniques. Dans une conjoncture de crise profonde de la presse française et mondiale, le soutien et la solidarité des lecteurs et utilisateurs de notre site en est, à mon avis, le gage de la poursuite de cette promesse qu’il honore depuis 1998…
Français d’origine mais européen de cœur, j’ai trimballé ma pomme en étudiant en Bulgarie et en travaillant à Pristina et Belgrade. En parallèle à mes activés professionnelles, je suis correspondant pour le Courrier des Balkans en Serbie.
Pendant mes années d’études et de recherche, c’est le Courrier des Balkans qui me proposait une lecture claire et objective des évènements qui avaient lieu la région. La raison de son succès, c’est son indépendance. Nos lecteurs savent que la liberté de la presse est trop souvent sur le fil du rasoir dans la région. Le rôle et la mission du Courrier, c’est de vous proposer l’accès à une information indépendante. L’équipe qui vous informe au quotidien est animée par cette passion et souhaite vous proposer le meilleur de l’analyse balkanique !
C’est pour cela qu’il est important de soutenir le Courrier dans sa transformation. L’aventure doit continuer et cela n’est possible qu’avec vous.
Originaire de Calais, je suis étudiante, actuellement en deuxième année de Master en Études Sud-Est Européennes entre l’Université de Belgrade et celle de Sarajevo. Je m’intéresse aux questions de démocratisation, d’intégration européenne et de protection des minorités, ainsi qu’à celles liées à l’identité et à la culture. Je contribue occasionnellement au Courrier.
Pour moi, le Courrier des Balkans est un outil extraordinaire, et en premier lieu dans le cadre de mes études. C’est aussi lui qui, entre autres, a éveillé ma curiosité pour cette partie de l’Europe dont on entend peut parler dans les grands médias nationaux. Étant le seul portail d’information francophone de cette ampleur et de cette qualité sur les Balkans, il me paraît vital de le soutenir.
Béranger Dominici, né en 1989 dans la banlieue (déjà) orientale de Paris.
Je suis tombé dans la marmite quand j’étais petit, en suivant ma famille partie vivre à Belgrade dans les turbulentes années 1990. J’ai repris une gorgée en partant pour la Bulgarie dix ans plus tard, et depuis, me voilà dans l’équipe. Où que je sois (Strasbourg, Lyon, Varsovie, de retour à Paris), je pioche des articles à traduire de la langue de mes ritals ascendants, ou en bâtis moi-même sur les sujets qui m’échauffent.
Le Courrier des Balkans tient du cocktail multicolore, un peu agité, qui réchauffe et surprend.