Portrait du traducteur en vingt-sept lettres : Bernard Hoepffner

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Proposé par Ursula Burger Oesch Dans les Balkans nous avons parfois tendance à oublier, et ceci est notamment le cas pour des langues telles que le bosniaque, le croate ou le serbe, que quatre-vingt-dix pourcent des livres que nous lisons sont des traductions d’ouvrages écrits en langues étrangères. Et derrière ces traductions - réécritures, en quelque sorte, se cachent des êtres singuliers, dits traducteurs littéraires, caméléons prêts à prendre, en contact avec chaque nouvelle œuvre dont ils s’emparent, les couleurs de leur nouvel environnement. Cet environnement, c’est un paysage, habité de paroles, de rhythmes, de style, de jeux de (…)

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