Koha Ditore
Le Kosovo entre-t-il dans une « zone grise » politique ?
Quels sont les effets de la récente campagne électorale municipale au Kosovo ? L’éditorialiste Veton Surroi se penche avec peu d’optimisme sur les conséquences du scrutin du 26 octobre dernier.
Par Veton Surroi
Dans l’intensité suivant les élections municipales du dimanche 26 octobre dernier, un activiste de la Ligue démocratique du Kosovo (LDK), Ukë Bytyçi, et deux militants ont été assassinés, dans la ville de Theranda.
Je voulais écrire pour tous les perdants de ces élections, je voulais écrire qu’il s’agissait d’une « certaine » victoire pour nous tous… mais vint l’assassinat d’Ukë Bytyçi. La mort de Bytyçi est une perte pour nous tous, par ce qu’il n’y a pas d’élections ou de résultats politiques qui peuvent compenser la vie d’une personne. Il n’y a ni de victoire, ni de parti qui peut mériter le sacrifice d’un homme, (…)
Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !