L’économie grise fait perdre huit millions d’euros par jour à la Serbie

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L’économie informelle représente encore une large part des échanges en Serbie. Une bonne partie des entrepreneurs préfèrent embaucher au noir prétextant ne pas pouvoir faire face aux charges sociales de leurs employés. Les acteurs de cette économie sont pourtant peu souvent sanctionnés. Une tolérance interprétée comme le constat d’échec de l’État, incapable de s’attaquer à un taux de chômage trop élevé.

Par Ognjen Zorić

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