Le Temps
Kosovo : Le "jour d’après" les premières frappes
Pristina a vécu dans la terreur sa première nuit de
bombardements.
Dès 20 heures mercredi soir, au moment de la première frappe, les
lumières de
la ville se sont éteintes, et seuls circulaient des véhicules de la
police et
de l’armée, ainsi que d’étranges voitures banalisées. Les hommes
des unités
spéciales quadrillaient la ville. Les journalistes parqués dans l’hô
tel Grand
étaient soumis à un strict régime policier. Arpentant les chambres et
les
couloirs, la police saisissait les téléphones et les caméras.
Plusieurs
journalistes étrangers ont été molestés.
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