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Kosovo : la criminalité, au-delà des statistiques

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L’éditorialiste Blerim Shala revient sur la criminalité au Kosovo, après le meurtre de Tahir Zekaj, en pointant les responsabilités de la MINUK, toujours incapable de faire régner l’ordre et la loi dans le territoire.

Par Blerim Shala Aujourd’hui au Kosovo, les statistiques démontrent qu’il y a beaucoup moins de crimes violents qu’il n’y en avait lors des deux années d’après-guerre. Mais pour des raisons évidentes, ces statistiques ne sont pas encourageantes : ces résultats sont certainement dus à un effet « naturel », conséquence statistique normale après deux années de guerre, plutôt qu’à un renforcement de la loi et de l’ordre au Kosovo. Si nous sommes sincères, nous devons dire que nous n’avons pas encore, comme Kosovars, la préparation et le courage de prendre nos responsabilités pour assurer à cent pour cent la sécurité, la loi et l’ordre. (…)

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