Françoise Wuilmart, ou la traduction littéraire à Sarajevo

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« Le traducteur littéraire n’est pas qu’un petit artisan confiné dans sa cellule de travail, c’est aussi le meilleur ambassadeur culturel qui soit ». Deux semaines après les 8èmes Rencontres européennes du Livre de Sarajevo, Françoise Wuilmart partage avec le Courrier de la Bosnie-Herzégovine ses impressions sur cet événement culturel majeur, peint sa vision du métier de traducteur littéraire et dévoile son projet d’ateliers de traduction à Sarajevo.

Propos recueillis par Ursula Burger Oesch Récompensée à plusieurs reprises pour ses traductions de Ernst Bloch et la diffusion écrite et orale de la pensée du philosophe allemand dans la francophonie, professeur de traduction (allemand/français) à l’Institut supérieur de traducteurs et interprètes de la Communauté française de Belgique (ISTI), traductrice littéraire (Gallimard, Actes Sud, La Différence, Labor), fondatrice et directrice du Centre européen de traduction littéraire (CETL) ainsi que du Collège européen de traducteurs littéraires de Seneffe, Françoise Wuilmart est également fondatrice et coordinatrice du DESS de traduction (…)

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