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Élections anticipées en Grèce : l’inquiétude des créanciers

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Les sondages publiés dans les médias grecs commencent à devenir un vrai casse-tête pour Bruxelles et Washington. Des ambassades à Athènes, comme celles d’Allemagne et des États-unis, ont mis en branle toutes leurs compétences pour essayer de comprendre le climat qui prévaut chez les électeurs. Mais même les analystes les plus expérimentés ne parviennent pas à se faire une idée claire des grandes tendances des élections prévues le 6 mai.

Sans se limiter aux sondages disponibles en Grèce, mais sur la base de leurs propres sondages effectués en secret, les ambassades à Athènes semblent être complètement perdues. Elles tirent deux conséquences diamétralement opposées des informations à leur disposition : Retrouvez notre dossier : Crise en Grèce : une histoire sans fin ? 1. Un Parlement grec qui serait éclaté en 7 à 10 partis, parmi lesquels beaucoup de partis opposés au mémorandum, ce que bien sûr nos prêteurs redoutent. 2. Un repli possible autour des deux grands partis Nouvelle-Démocratie et Pasok, qui franchiraient ensemble la barre des 51%. Cette estimation ne (…)

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