Dani

Ce n’est pas la Bosnie pour laquelle nous avons lutté

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Qu’éprouvait le général lorsque c’était un meunier qui commandait la logistique de l’armée ? La vérité sur la guerre en Bosnie a-t-elle été écrite ? Quel est le prix de la route de Gorazde et pour qui a-t-elle été construite ? La veille de la démobilisation annoncée de l’Armée de la Fédération, de la dernière arrivée de Pardew, de la centralisation finale du système de gestion et du commandement de l’Armée de la Fédération et après l’annonce de la création d’une structure unique de défense en Bosnie-Herzégovine, le commandant de l’Armée de la Fédération, Rasim Delic, parle à "Dani".

Par Vildana Selimbegovic Dani : Monsieur le commandant, partez-vous à la retraite ? Delic : Je ne sais toujours pas. D’abord, je ne remplis pas les conditions prescrites par la Loi sur l’assurance retraite. Nous avons proposé, au sujet de la réduction de l’Armée de la Fédération, une diminution de la limite d’âge et des années de cotisation, et si cette proposition est adoptée, je remplirai les conditions nécessaires pour partir à la retraite. Sincèrement, je n’aimerais pas partir à la retraite, mais ce poste devient fatiguant pour moi, je l’occupe depuis sept ans et j’aimerais changer d’activité. Dani : l’Armée de la Fédération (…)

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