Faut-il donc mourir pour 400 euros par mois ?
Bosnie-Herzégovine : dans les mines et les usines, la mort, la rage et la révolte
Faut-il donc mourir pour 400 euros par mois ? C’est la question que se posent les mineurs de Bosnie-Herzégovine, après le tragique accident de Kakanj, le dernier d’une série qui n’en finit pas. Salaires de misère, absences de règles de sécurité : les droits des travailleurs n’existent pas, mais les luttes ouvrières pourraient vite reprendre, à Kakanj comme à Tuzla.
Par Rodolfo Toè
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