Au temps béni de la colonie : le Kosovo et ses « protecteurs » internationaux

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Ils sont arrivés à Pristina en 1999 ou en 2000. Ils ont travaillé pour la Minuk, ils ont conseillé les gouvernements successifs, ils sont devenus riches et « ils aiment beaucoup le Kosovo ». Corrompus, ils ferment les yeux sur les activités criminelles et entretiennent l’irresponsabilité des dirigeants kosovars. Les « internationaux », eux-mêmes assurés de l’impunité juridique, dirigent toujours le Kosovo comme une colonie. Enquête.

Par Serbeze Haxhiaj

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