Turquie : « démissions » en série de maires des grandes villes
Istanbul, Ankara, Bursa... Après un mois de suspens, plusieurs maires de grandes villes, pourtant membres de l’AKP, sommés de démissionner, ont fini par céder sous la pression du Saray, le palais présidentiel. Le prétexte ? Des enquêtes d’opinion défavorables et la nécessité de « renouveler » le parti au pouvoir. En réalité, malgré sa fuite en avant autoritaire, Recep Tayyip Erdoğan semble de plus en plus isolé.
Par Selin Kaya
Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !