Paris (75018)

Théâtre : Nous, les petits-enfants de Tito

| Du au

De et avec SIMON PITAQAJ
Collaboration artistique Cinzia Menga et Samuel Albaric
Création sonore Cyrille Métivier
Création lumière Franz Laimé
Regard extérieur Christophe Laluque
Dès 12 ans
Durée 1h

NOUS, LES PETITS ENFANTS DE TITO, a reçu les Encouragements dans le cadre de l’Aide à la création du Centre national du Théâtre

« Un texte brut qui retrace des morceaux de vie, celle d’un adolescent qui grandit entre les légendes balkaniques et le bitume de Saint-Denis".

Sous la forme d’une autofiction, c’est le parcours d’un adolescent habité de mythes et de légendes, mais aussi l’histoire interminable de conflits ethniques et religieux, que Simon Pitaqaj nous raconte. C’est l’histoire d’un adolescent poursuivi par ses démons qui s’échappe d’une forêt mystérieuse pour arriver dans un univers urbain et désenchanté. C’est dans ce nouveau monde si différent et si semblable qu’il deviendra adulte. Il y vivra les meilleurs moments de sa vie, mais aussi ses pires cauchemars.

Mon verbe est celui d’un étranger qui tente de franchir une frontière, celle des apparences. Simon Pitaqaj

À voir d’urgence...
" Simon nous bouleverse et nous impressionne. Il nous fait peur et nous fait rire. Il nous plonge au coeur de son univers baigné par les légendes des Balkans. Pour ses copains, Ahmed, Moussa, Rachid, Simon est à la fois serbe, croate, macédonien, bosniaque, monténégrin mais ni Kosovar et encore moins albanais. Simon, c’est le « Yugo » ou « Puska » le fusil ". ANOUK LEDERLE

" La force du texte de Simon Pitaqaj tient à sa forme brute et sans pathos. Un soliloque à bout de souffle, pour ne rien oublier. Il vient ici pour nous raconter une histoire, et nous repartirons avec ou pas, mais il a des choses à nous dire. C’est aujourd’hui à nous, lecteurs et spectateurs de savoir les décrypter ". Marion Guilloux

La compagnie LIRIA TEATER
Liria signifie liberté en Albanais.

La compagnie a été créée le lendemain de l’indépendance du Kosovo !
Liria Teatër met en scène des personnages qui sont constamment confrontés avec la dualité : agir ou ne pas agir, agir ou être empêché. Une dualité en soi, en nous, avec moi et mon double, ma tête et mon esprit entre mon corps et mes pulsions. Une dualité entre la vie et la mort, le rêve et la réalité, les fantômes et les vivants, la mémoire et l’oubli.

Avec le soutien de : La région Ile-de-france, DGCA (compagnonnage avec l’Amin Compagnie Théâtrale). Le Colombier / Centre de création théâtrale et chorégraphique indépendant, ARTCENA, Centre national des Arts du cirque, de la rue et du théâtre, Conseil départemental de l’Essonne, La Friche / Amin Théâtre, Théâtre de Corbeil-Essonnes.

Théâtre de la Reine Blanche
2 bis passage ruelle - 75018 Paris