Industrie textile : c’est pas du Zola, c’est la Serbie d’aujourd’hui
Très bas salaires, heures supplémentaires non payées, mais aussi harcèlement constant, climat de peur, insalubrité des ateliers, températures inadaptées... C’est ainsi que l’on travaille aujourd’hui, en Serbie, pour des marques comme GEOX, Benetton, Vero Moda ou Esprit. Telles sont les conclusions d’une enquête menée par l’organisation Clean Clothes Campaign.
Par Matija Jovanović
Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !