Macédoine : « Quand le jour n’avait pas de nom », portrait d’une génération perdue
Un fait divers monstrueux inspire un film qui dénonce les dérives de la société et témoigne de l’état de perdition de la jeunesse en Macédoine. Quand le jour n’avait pas de nom a été présenté au Festival du film francophone de Namur et est distribué en salle en Belgique depuis le 13 décembre. Entretien avec la réalisatrice Teona Strugar-Mitevska.
Propos recueillis par Jaklina Naumovski
Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !