Albanie : rêve européen, promesses futuristes, scandales de corruption et dérive autoritaire

| |

À l’approche des législatives du 11 mai, les ténors de la politique albanaise, Edi Rama et Sali Berisha, offrent des visions radicalement différentes pour l’avenir du pays. Le Premier ministre sortant mise sur une Albanie intégrée à l’UE d’ici 2030, tandis que le chef de l’opposition parie sur une révolution numérique pour attirer les jeunes. Le tout dans un climat de corruption et de dérive autocratique.

Par Katerina Sula

Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !

S'abonner      Identifiez-vous