Albanie : Edi Rama, le Citizen Kane qui a déçu la gauche

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Quand il a pris la tête du gouvernement en 2013, Edi Rama suscitait une vague d’espoir pour l’Albanie. Il devait être l’homme qui incarnerait l’avenir radieux du pays, avec plus de justice sociale et moins de corruption. Mais à quelques mois du terme de son mandat, c’est la désillusion qui domine. L’analyse sans concession de l’universitaire Griselda Qosja.

Par Griselda Qosja

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