La Slovénie est loin d’être cet eldorado dont rêvent les Bosniens

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Comme tous les lundi matin, la file est longue devant le consulat slovène de Banja Luka. Jeunes, moins jeunes, hommes et femmes, tous attendent d’obtenir le permis qui leur permettra de quitter la Bosnie-Herzégovine. Les 300 heures mensuelles, les salaires versés avec des mois de retard, l’absence de protection sociale, ils s’en moquent : ce qu’ils veulent, c’est travailler. Reportage.

Par Tatjana Čalić <

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