Cyberespionnage en Serbie : les services secrets visent aussi les étudiants
Mi-décembre, Amnesty International révélait comment la Serbie devenait une « prison numérique », espionnant illégalement activistes et journalistes. Dix jours plus tard, un étudiant a fait les frais de pressions similaires des services secrets. BIRN a recueilli son histoire. Témoignage glaçant.
Traduit par Dimša Lovpar (Article original)
Le 25 décembre dernier, alors que les drapeaux du SNS flottaient au-dessus d’un Sava Centar bondé et que la foule acclamait le président serbe Aleksandar Vučić, un étudiant, visiblement indésirable, a disparu durant six longues heures.
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