Avoir 20 ans en 2000 en Bosnie-Herzégovine : culture, insolence et résistance
Au début des années 2000, des lieux culturels alternatifs émergent à Banja Luka, Mostar ou Travnik, dans un pays portant encore de lourds stigmates de la guerre. En butte à l’hostilité des oligarchies nationalistes, ces lieux de création ne seront pas soutenus par les « internationaux » qui pensent en termes de quota ethniques et préfèrent se gargariser de discours vides sur la « réconciliation ».
Par Aline Cateux
Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !