Bosnie-Herzégovine : la négation du génocide n’est toujours pas un délit
25 ans après le génocide de Srebrenica, en juillet 1995, le Parlement de Bosnie-Herzégovine a rejeté une nouvelle proposition de loi criminalisant la négation de ce crime de masse. Une motion proposant d’interdire l’exercice de fonctions publiques par des personnes condamnées pour crimes de guerre a également été rejetée.
Par Aline Cateux
Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !