Boris Buden : « Le fascisme qui vient ne trouve aucun adversaire sur sa route »
La guerre en Ukraine marque l’échec du processus de « transition libérale » ouvert dans les années 1990 par les guerres yougoslaves. Aujourd’hui, le nouveau fascisme qui vient ne trouve aucune force désireuse de s’opposer à lui. Il nous faut pourtant changer le monde, ou disparaître. L’analyse lucide et désespérée de Boris Buden.
Traduit par Jasna Tatar Anđelić (article original) | Adapté par la rédaction
<!-
Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !