Le 11 janvier, la police a détruit leurs camps. Depuis, ils vivent cachés dans la « jungle » par des froids de -20°C, ne subsistant que grâce à l’aide d’une poignée de bénévoles. À Subotica, dans le nord de la Serbie, près de la frontière hongroise, les réfugiés souffrent de l’hiver, mais aussi de l’incurie collective de la Serbie et de l’Union européenne.
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