Radio Slobodna Evropa

« La maison du souvenir et de l’oubli » : Filip David s’interroge sur les origines du mal

| |

Kafka et Hannah Arendt, la culpabilité et le besoin de consolation. Milošević et les années 1990, Vučić, la Russie et le néolibéralisme. Le sol et le sang, le Mal, le piège des identités et l’absence de résistance civile... Filip David vient de publier aux éditions Laguna son troisième roman, Kuća sećanja i zaborava (La maison du souvenir et de l’oubli). Entretien avec l’un des plus grands intellectuels de Serbie.

Propos recueillis par Dušan Komarčević <!

Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !

S'abonner      Identifiez-vous